Visages de Mongolie
Nos guides, nos anges-gardiens…
Ils nous ont permis de partager au quotidien leurs repas, leurs chants, leur amitié, leurs états d’âme et leurs confidences.
Nous avons ainsi profité, en toute confiance et non sans émotion,
de leur permanente disponibilité, de leur savoir-faire, de leur talents et de leur constante gentillesse.
Un grand merci à eux…
Ïugho, interprète.
Baaghi, chauffeur-mécanicien.
Tsarnïa, chauffeur-mécanicien.
Gaana, cordon bleu.
Otchiï, éleveur de chevaux, cavalier chef d’escorte.
Enkhbayar, cavalier d’escorte.
Batkhuü, cavalier d’escorte.
Enktaïvan, cavalier d’escorte.
Quelques portraits de nos hôtes
et de nos belles rencontres…
Papy branché ou cow-boy motorisé,
tout l’art d’actualiser la tradition...
Petits vendeurs ambulants de lait fermenté (Tiriat).
Ecolière pressée (Ulaan Uul).
Charmante épicière (Ulaan Uul).
Rite immuable (coutume ou mesure d’hygiène ?) : les garçons sont tondus à l’âge de trois ans.
Fillette initiant le voyageur à la traite des chèvres (Okhron).
Les femmes sont chargées de la traite des juments.
Petits présents de bienvenue (Okhron).
Jeune chamelier (désert de Mini Gobi).
Iggiï (Ulaan Baatar)
En Mongolie, on considère qu’un bébé a déjà l’âge d’un an le jour-même de sa naissance…
Jeune hôtesse (Moron)
Fillette dans l’escalier (Ulaan Baatar).
Les enfants sont vite investis de responsabilités d’adultes.
Témoin, cette petite épicière de douze ans qui tient quotidiennement boutique
sous le marché couvert de Tsetserleg.
Bébé glouton (Tsetserleg)
Cavaliers de rencontre (Ouest du Lac Khosgul).
Trois générations… (Jargalant)
Jeunes élégantes (Tsaagan Nuur).
Le Naadam
(12-13 juillet)
Lors de la Fête nationale du Naadam,
les 25 ethnies de Mongolie revêtent costumes traditionnels
et tenues d’apparat pour partager une chatoyante parade
dans les rues de la capitale.
Pratique héritée de l’occupation soviétique, le défilé solennel, médailles en évidence,
des citoyens vertueux du pays : travailleurs modèles, patriotes, mères de famille nombreuse…
Chanteuses de « urtyn duu »
(chant sans véritables paroles, fait de très longues modulations vocales de voyelles).
Chanteur de « khoomi »
(chant guttural à deux sons simultanés -un grave, un aigu- dont l’origine daterait du 12ème siècle).
Jolie musicienne.
Un ultime au-revoir mongol plein de grâce et de tendresse...
Fin
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